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Par
roz_pamp le
15 Janvier 2021 à 00:26
C'est article a été crée pour exposé vos création qui répondent à mon DTIYS
N'hésitez pas à m'envoyer vos dessins, ils serons ajouté à l'article.
11 commentaires
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Par
roz_pamp le
7 Mai 2020 à 13:14
De puis toujours je suis dyspraxique visuo-spatial.
Le but de cet article est de partagé mon expérience, je ne suis pas là pour me plaindre mais pour vous expliqué que votre handicape quel qu'il soit ne doit pas vous empêcher de vivre et vous crée un complexe.
Donc je vais essayer de vous expliquez avec mes mot et mon expérience de vie, ce que la dyspraxie est pour moi. Pour cela j'ai effectue des recherches et les ais associer à mes propre expériences.
Définition : Les Dyspraxiques visuo-spatiaux ont du mal a organiser leur regard, ils ont des difficultés à ce situé dans l'espace, et ont un manque d'automatisation de gestes. Chaque action précise (comme écrire) est une succession de mouvements que l'on exécute progressivement, les dyspraxiques ont la particularité d'êtres très lent, maladroit et ce fatigue rapidement.
Si on doit décortiqué le nom de cet handicape dyspraxique visuo-spatial on obtiens:
Dyspraxie: praxie: trouble de l'adaptation des mouvements au but visé.
Visuo: vue: trouble au niveau visuel, défaut de coordination visuo-motrice.
Spatial: espace: difficultés à comprendre et analyser la notion d'espace.
C'est plus ou moins ce qui caractérise les dyspraxiques visuo-spatiaux.
Les personnes dyspraxique peuvent avoir des troubles d'attention du à la fatigue, à l'environnement si il est bruitant ou en mouvement constant.
Mais il n'y a pas que ça, j'ai aussi des difficultés de compréhension oral et écrite, j'ai toujours eu beaucoup de retard sur le programme à l'école, pour chaque sujet vue en classe, soit je comprenais enfin le sujet avant l'interrogation, soit je ne le comprenais pas du tout, ce qui me valais souvent une moyenne générale de 10. Le fait d'être visuo-spatial ne facilite pas la lecture, l'écriture est pour moi une exécution de gestes difficile et fatigante. J'ai commencé à apprécier la lecture à partir de mes 19 ans grâce à la BD, les livres étant beaucoup trop long à lire pour moi je me désintéressai très vite et ne les finissais jamais. Et toujours dans le contexte de l'école, je devais relire plusieurs fois les consigne ou les questions pour bien comprendre ce qui était demander ce qui me fessait perdre du temps ou ce qui me allais des hors sujet.
Jusqu’à un certain âges mon écriture était illisible par des personnes extérieur et moi même. La dyspraxie comporte aussi une dyslexie, dysorthographie, dyscalculie...
L'origine de la dyspraxie : elle est due au fait qu'il y ai un manque de connexions entre les deux lobes du cerveau, si nous somme aussi lent pour une simple exécution c'est tout simplement parce que nous devons trouvé ou crée un chemins inexistant entre nos deux lobes afin d'exécuté une action ou une réflexion.
Je pense qu'il y a différent type de dyspraxie, car nous avons certainement des connexions inexistante différentes en fonction des personnes.
Personnellement grâce au suivie au quel j'ai eu droit depuis mes 6 ans jusqu'au lycée, ma dyspraxie est plus discrètes mais elle est toujours là, ayez conscience que ces résiliences qui nous aides a êtres aussi réactif qu'une personne sans trouble, nous fatigue beaucoup.
La dyspraxie visuo-spatial ne ce guérie pas, on doit apprendre à vivre avec.
Je voudrais aussi parler un peut du regard des autres, car quand on est différent, les autres nous jugent, ce moque ou ce mette en colère contre nous. Ayant eu un suivie très intense, plusieurs fois par semaine de la primaire au lycée je loupais des cours car j'avais des rendez-vous d'orthophonie, d'orthoptie, de tapping, psychomotricité ect... c'était mal vue par mes camarade de classe mais aussi la présence de mon AVS (Auxiliaires de Vie Scolaire) présent en classe a mes coté et de mes aménagement (ordinateur, tiers temps, devoir à la maison et examens aménagé, me laissé dormir en classe...) Toute ces chose mettais une distance entre moi et mes camarade de classe, j'était vue comme une bête de foire mais je n'en avais pas vraiment conscience à l'époque, bien sur au lycée je n'avais plus ces soucis et heureusement, on était une petite classe de 11 élèves et on s'entraidais beaucoup les uns les autres, mon AVS était également bien intégré dans la classe, c'était bien plus agréable !
J'espère que cet article vous a aidé à y voir plus claire.
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